vendredi 7 septembre 2012
jeudi 17 mai 2012
Aveu
Sarkozy, Hollande, même combat: sauver la Grèce à tout prix pour sauver l'Europe. Pourquoi un tel jusqu'au boutisme? Pour des raisons politiques, en dépit de toute logique économique: maintenir la Grèce dans la zone euro quitte à continuer d'engloutir des milliards et des milliards au détriment des générations futures. Telle est la ligne défendue par Gaëtan de Capèle dans son éditorial du Figaro d'aujourd'hui:
"Pourquoi, en dépit des apparences, la raison recommande-t-elle de tout mettre en oeuvre pour conserver la Grèce dans l'euro? D'abord pour des raisons politiques. Depuis deux ans, l'Europe lutte sans relâche pour préserver la zone euro, surmontant toutes ses dissensions pour voler au secours des Etats en difficulté. Renoncer après s'être tant battu acterait le plus grand échec de l'histoire de la construction européenne. Et mettrait en péril tout l'édifice..."
La cerise sur le gateau...
" Ensuite, pour des raisons financières. Sur le papier, les quelques dizaines de milliards (sic!) que coûterait en théorie une faillite de la Grèce ne mettraient pas l'Europe en péril."
Quelques "dizaines de milliards" Monsieur de Capèle? Une faillite grecque aurait un coût de 60 milliards pour la France et de 100 milliards pour l'Allemagne...Une bagatelle pour l'hyperclasse mondialiste dont Monsieur de Capèle se fait aujourd'hui le portevoix.
mardi 1 mai 2012
samedi 14 janvier 2012
Sarkozy ou la fuite en avant
Depuis que Nicolas Sarkozy est arrivé au pouvoir, la dette de la France a augmenté de 630 milliards d'euros, passant de 1 150 milliards à 1 780 milliards d'euros. Énorme. L'Élysée, relayé par Bercy, met ces résultats sur le compte de la crise économique la plus grave depuis 1929.
Trop facile, rétorquent Delattre et Lévy. S'appuyant sur des documents officiels, ils montrent que la crise de 2008, en abaissant les recettes et en grevant les dépenses, aurait alourdi la dette de 109 milliards d'euros. Mais le reste, entièrement imputable au président, s'élève à 520 milliards d'euros (le titre de leur livre l'arrondit à 500). Explications : "Le budget dont a hérité Nicolas Sarkozy, à l'instar d'une voiture mal réglée (...), grillait 3,2 points de PIB." Plutôt que de "soulever le capot pour régler la machine", l'Élysée a laissé filer. En ne freinant pas cette dérive, il a fait gonfler la dette de 370 milliards d'euros. Auxquels s'ajoutent 153 milliards, car "le nouveau président a aussi appuyé sur le champignon". Nicolas Sarkozy, l'homme qui voulait mettre l'État à la diète, a fait bondir la dette publique de la France de 20 points (dont seulement 5,5 imputables à la crise) !
Trop facile, rétorquent Delattre et Lévy. S'appuyant sur des documents officiels, ils montrent que la crise de 2008, en abaissant les recettes et en grevant les dépenses, aurait alourdi la dette de 109 milliards d'euros. Mais le reste, entièrement imputable au président, s'élève à 520 milliards d'euros (le titre de leur livre l'arrondit à 500). Explications : "Le budget dont a hérité Nicolas Sarkozy, à l'instar d'une voiture mal réglée (...), grillait 3,2 points de PIB." Plutôt que de "soulever le capot pour régler la machine", l'Élysée a laissé filer. En ne freinant pas cette dérive, il a fait gonfler la dette de 370 milliards d'euros. Auxquels s'ajoutent 153 milliards, car "le nouveau président a aussi appuyé sur le champignon". Nicolas Sarkozy, l'homme qui voulait mettre l'État à la diète, a fait bondir la dette publique de la France de 20 points (dont seulement 5,5 imputables à la crise) !
Source: Le Point
vendredi 2 décembre 2011
Le rapport parlementaire de la semaine
Un rapport parlementaire décrit comme "un fléau persistant" les profanations de cimetières et de lieux de culte au nombre de 621 pour l'année 2010 (+100% en 2 ans). Le "Top 3" ne surprendra pas:
- 57 pour les musulmans
- 42 pour les israélites.
Les solutions proposées? Elles prêtent franchement à rire...
"À partir de ce constat, le rapport propose tout d’abord de faire voter par le Parlement une résolution, texte symbolique mais non contraignant, condamnant les profanations. Sur le volet préventif, il appelle à créer un module sur le respect des morts dans les cours d’éducation civique et à multiplier les voyages et les projets scolaires sur des lieux religieux. " (Source: La Croix)
Et si je menais une action préventive auprès de mes élèves: un petit tour à à Notre Dame ou à la Chapelle de la Médaille miraculeuse, ça vous dit, jeunes gens? Je vois déjà la tête de mes collègues laïcards...
jeudi 1 décembre 2011
Comment la psychanalyse parasite le diagnostic de l'autisme en France
Le quotidien La Croix, consacre cette semaine son supplément "Parents & Enfants" à "La lutte quotidienne des parents d'enfants autistes" et fait apparaître le rôle néfaste de la psychanalyse dans le diagnostic de ce handicap.
Alors que la communauté scientifique internationale affirme depuis longtemps que l'autisme est un trouble neurologique d'origine génétique, beaucoup de psychiatres français continuent à l'interpréter, à la lueur de la psychanalyse, comme un trouble résultant d'une mauvaise relation avec la mère. Un documentaire récent, Le Mur, réalisé par Sophie Robert, soutenu par Autistes Sans Frontières, et mis en ligne, en témoigne. On y voit des psychanalystes parler de mère "psychogène", de "stade de folie transitoire" de la mère, voire de "désir incestueux". Trois psychanalystes mis en cause dans ce film veulent d'ailleurs le faire interdire au prétexte qu'il les "ridiculise": l'affaire sera jugée par le tribunal d'instance de Lille le 8 décembre prochain.
Face à cette situation de la France, qu’il juge « honteuse », M’hamed Sajidi, président de l’association Vaincre l’autisme, a du mal à cacher sa colère. « Malgré les recommandations de la Haute Autorité de santé sur le diagnostic précoce, et une condamnation de l’Ordre des médecins, de nombreux praticiens hospitaliers continuent à ignorer les données actuelles de la science et de la médecine et, au-delà de l’ignorance, il s’agit d’un refus de les prendre en compte : cette idéologie de l’autisme, portée par les psychiatres psychanalystes, continue en effet à être enseignée dans les universités françaises, si bien qu’on fait perdurer l’erreur. »
Concrètement, seuls les parents « avertis » partent à la recherche d’un diagnostic correct dans les centres spécialisés qui tiennent compte des nouvelles données de la science. Mais la plupart continue à recevoir des avis erronés… ou rien du tout. Avec des conséquences graves sur l’enfant et sur son entourage. « Quand l’enfant n’est pas pris en charge précocement, son état se dégrade, la maladie use sa santé et celle de sa famille, poursuit M’hamed Sajidi. L’absence de diagnostic et la mise en cause de la mère conduit au déchirement des couples : entre 60 et 70 % des parents se séparent, de nombreuses mères restant seules avec leur enfant. Alors que ceux à qui on donne des informations correctes se soudent pour lutter. »
Dans ce dossier, on peut lire un entretien avec le docteur Eric Fombonne, directeur du Programme clinique et de recherche sur l'autisme à l'hôpital pour enfants de Montréal dans lequel la psychanalyse est gravement mise en cause:
Dr E. F. : Les premiers symptômes apparaissent en général dans la deuxième année de la vie. Au Québec, on fait le diagnostic largement avant 3 ans ; aux États-Unis un peu plus tard. Le problème en France est que certains enfants ne sont pas diagnostiqués du tout ou traînent avec de faux diagnostics qui empêchent la mise en place d’actions éducatives précoces.
Pourquoi un tel retard ?
Dr E. F. : La psychiatrie de l’enfant est dominée en France par un courant de pensée : la psychanalyse. Les pédopsychiatres mènent souvent leurs entretiens avec des approches un peu naïves : ils en reviennent toujours aux affects, aux relations supposées perturbées avec les parents, notamment avec la mère. Et ils ne posent pas les bonnes questions. La psychiatrie française a créé dans les années 1980 sa classification des troubles mentaux de l’enfant, qu’absolûment personne n’utilise en dehors des frontières de l’Hexagone.L’autisme y figure, avec une définition extrêmement étroite qui concerne les cas les plus sévères. Les autres catégories diagnostiques parlent de « disharmonie » psychotique, névrotique ou « déficitaire ». Si bien que beaucoup d’enfants autistes ne sont pas reconnus en tant que tels, mais diagnostiqués dans ce fouillis des disharmonies qui reflètent des concepts psychanalytiques dépassés et sont systématiquement associés à des prises en charge basées sur des psychothérapies inadaptées.
On sait donc aujourd’hui que le comportement des parents n’est pas du tout en cause ?
Dr E. F. : Cela fait très longtemps que cette responsabilité des parents est évacuée de la littérature scientifique internationale. De nombreuses études ont été faites dans ce domaine : elles ont montré que les parents d’enfants autistes étaient tout aussi compétents que les autres. Il n’y a donc plus de place pour cette théorie environnementale naïve sur le rôle des « mauvais » parents. C’est complètement absurde et obsolète.
dimanche 23 janvier 2011
vendredi 24 décembre 2010
Paracuellos= 50 Guernica
Contraint de me déplacer en métro et RER suite aux intempéries neigeuses, je parviens à oublier la promiscuité, à supporter les odeurs et l'ambiance de bétaillère qui règnent dans les rames parisiennes grâce au dernier livre d'Eric Brunet "Dans la tête d'un réac". La chute du premier chapitre ma provoqué une bonne crise de rire. C'est dire! L'extrait qui suit est moins drôle. Mais comme je me plonge depuis quelques jours dans un sujet qui me hante - les persécutions perpétrées par la République espagnole, par l'entremise d'un nouveau blog, je ne résiste pas à vous partager les lignes qui suivent.
"Le 7 novembre 1936, les soldats nationalistes avancent. La guerre est aux portes de Madrid. La capitale espagnole est remplie de journalistes et d'écrivains internationaux, anglais, américains, français : le Komintern a compris tout l'intérêt qu'il pouvait tirer de la mise en scène de la chute de Madrid. Pendant que les journalistes étrangers multiplient les articles lyriques, les « conseillers soviétiques » Orlov et Ko1tsov demandent au camp républicain de vider les nombreuses prisons encombrées de Madrid. Le gouvernement républicain, dirigé par des communistes et des socialistes, va, sur ordre de son sousdirecteur de la Sûreté, Serrano Poncela, prouver son sens aigu de l'organisation.
Santiago Carrillo, conseiller à la Sécurité intérieure, va planifier l'impensable : la liquidation en masse, sur une durée de deux mois, de tous les « suspects » emprisonnés à Madrid. Plusieurs dizaines de milliers d'Espagnols vont être arrachés à leurs cellules et dépouillés de leurs objets personnels : des hommes, des femmes, des enfants, des vieillards, des prêtres, des intellectuels comme Ramiro de Maeztu qui faisait partie de la génération de 1898. Tous des civils, arrêtés quelques semaines plus tôt par les terribles tchékistes républicains au motif qu'ils avaient caché un frère, un fils, ou parce qu'ils avaient été raflés dans une église... Les prisons de Modelo, de Ventas, de Porlier, de San Antôn, vont ainsi être « évacuées » selon la même procédure officielle, sur l'ordre d'un gouvernement soutenu par Léon Blum.
On va lier les poignets des prisonniers avec du fil de fer. Les détenus, hommes, femmes et enfants, vont ensuite être embarqués dans les célèbres bus à impériale de Madrid et dans des cars de tourisme. Environ soixante-dix civils par véhicule. Chaque bus sera escorté par une vingtaine de miliciens républicains. Destination : le petit village de Paracuellos. D'immenses fosses ont été préalablement creusées pour accueillir les « fascistes ». Par groupe de trente les détenus sont poussés au bord des fosses puis mitraillés par des volontaires. Lorsqu'ils tombent au fond de la fosse, un milicien républicain les achève d'un coup de revolver dans la nuque. Enfin, lorsqu'une fosse est remplie (environ mille cinq cents corps), elle est recouverte de chaux par des agents républicains.
On parle de près de onze mille corps de civils dans ces charniers de Paracuellos. Pourquoi Rossif ne mentionne-t-il pas cette tuerie dans son lyrique Mourir à Madrid? Pourquoi historiens et chroniqueurs de l'époque ont-ils oublié cet épisode ? Pourtant, d'autres villages vont connaître le même destin que Paracuellos : Bobadilla, Alarcôn.
Oui, il y eut l'abominable bombardement de Guernica. Mais quelques mois plus tôt, à Paracuellos, il ne se trouva aucun Picasso, aucun intellectuel pour raconter au monde le long ballet des bus à impériale, et l'implacable planification par les républicains espagnols d'un massacre vite enterré par les bonnes consciences humanistes."
mardi 21 décembre 2010
" Liberté !"
Samedi dernier, je me suis rendu aux Assises contre l'islamisation. Ce fut un grand moment. Un moment qui pourrait bien entrer dans l'histoire. J'y ai retrouvé de nombreux amis et une ambiance formidable que décrit parfaitement le dernier éditorial de Risposte Laïque. Un bon moment. De ceux qui vous regonflent à bloc, sans jeu de mots.
A la fin de l'intervention de René Stadkewitz, je me suis même autorisé à "faire la claque" comme on dit, en scandant à tue tête, du fond de la salle, un mot qui sera repris par l'assistance: "Liberté". Ce mot m'est venu en écoutant l'intervenant précédent, Elisabeth Sabaditsch-Wolff, nous raconter ses déboires avec la justice de son pays pour avoir exercé un droit supposé fondamental dans toute démocraties digne de ce nom: la liberté d'expression. Voici la mise en garde par laquelle elle conclut son intervention:
"Notre temps est venu.
Cette épreuve, nous n’y échapperons pas.
Je me souviens d’un passage de la célèbre trilogie de J.R.R Tolkien, Le Seigneur des anneaux.
C’est un échange entre Frodo le Hobbit et Gandalf le magicien à propos de la périlleuse mission confiée à Frodo et ses compagnons. Frodo dit: «J’aurais souhaité que cela n’arrive pas en mon temps».
Et Gandalf répond: «Moi aussi, comme tous ceux qui ont à vivre des temps pareils. Mais la décision ne leur appartient pas. Tout ce que nous avons à décider, c’est ce que nous ferons du temps qui nous est imparti.»
Le temps est venu pour nous de décider ce que nous ferons du temps qui nous est imparti. (...)
Je ne veux pas que ma fille vive sous la Charia.
Nous avons peu de temps.
Si vous et moi ne voulons pas que notre avenir soit islamique, c’est maintenant que nous devons parler.
Si nous voulons préserver le droit de parler et de publier librement, nous devons l’exercer maintenant.
J’aurais voulu que cela n’arrive pas en mon temps.
Mais c’est arrivé.
Nous devons faire pleinement usage du temps qui nous reste."
lundi 13 décembre 2010
Les chiffres officiels de l'avortement en Espagne mis en cause par les organisations pro-vie
Leire Pajin, ministre socialiste de la Santé, des Affaires Sociales et de l'Egalité (sic), a livré quelques chiffres concernant l'avortement en Espagne. On y compterait pour l'année 2009, 111 482 interruptions de grossesse, soit 4% de moins que l'année précédente. Cette diminution serait plus importante dans la catégorie des femmes de moins de 20 ans: 13.967 avortements en 2009, soit 6% de moins qu'en 2008.
La ministre s'est réjoui d'une telle évolution, l'attribuant à la diffusion sans ordonnance de la pilule du lendemain.
Les collectifs pro-vie ont immédiatement réagi en contestant l'évolution à la baisse claironnée par le gouvernement socialiste car seuls les avortements chirurgicaux sont décomptés. Aucun chiffre n'a été communiqué sur la consommation de pilules du lendemain, ni sur le nombre d'avortements que sa diffusion massive pourrait entraîner.
Selon Gádor Joya, il est peu probable que l'avortement ait reculé chez les moins de 20 ans tant il est devenu massif. "Le taux d'IVG a triplé de 1998 à 2008" a rappelé le porte parole de Derecho a vivir, l'un des plus dynamiques mouvements pro-vie que compte l'Espagne. Par ailleurs, le gouvernement espagnol reconnaît qu'il ne sait pas quantifier les avortements illégaux qui se produisent chaque année dans ces montrueux abattoirs d'enfants de Barcelone et d'ailleurs, et qui continuent de prospérer en toute impunité.
Selon Gádor Joya, il est peu probable que l'avortement ait reculé chez les moins de 20 ans tant il est devenu massif. "Le taux d'IVG a triplé de 1998 à 2008" a rappelé le porte parole de Derecho a vivir, l'un des plus dynamiques mouvements pro-vie que compte l'Espagne. Par ailleurs, le gouvernement espagnol reconnaît qu'il ne sait pas quantifier les avortements illégaux qui se produisent chaque année dans ces montrueux abattoirs d'enfants de Barcelone et d'ailleurs, et qui continuent de prospérer en toute impunité.
Pour sa part, Ignacio García-Juliá, responsable du Forum espagnol de la Famille, a émis l'hypothèse selon laquelle la baisse d'avortements chirurgicaux correspondrait à l'augmentation des avortements dits chimiques. "Si cette pilule est distribuée comme s'il s'agissait d'aspirine, sans qu'un médecin ait son mot à dire, on peut craindre pour les femmes qui y ont eu recours, des répercussions graves sur le système hormonal" a-t-il ajouté hier dans ses déclarations au quotidien La Razon.
Le président de l'Institut de la Politique Familiale, Eduardo Hertfelder a, quant à lui, critiqué la diffusion de l'avortement chimique et particulièrement sa promotion auprès des jeunes. Pour le le responsable de l'IPF, il s'agit là d'une immixtion supplémentaire de l'Etat dans la vie des familles. A travers une pseudo-protection contre les "risques", c'est toujours une logique d'éviction des parents qu'impose l'état. La diffusion sans consentement parental de la pilule du lendemain auprès des mineures, outre la perte de contrôle des parents dans l'éducation des enfants qu'elle induit, va inévitablement provoquer chez les jeunes un augmentation du recours à l'avortement. Quoi de plus banal, en effet, qu'un cachet et un verre d'eau ?
"Toujours plus...d'avortements!"...Tel pourrait être le slogan qui pourrait couronner la faillite morale du progressisme partout à l'oeuvre en Europe. En ce domaine, l'exemple britannique est des plus parlants...On se souvient qu'en juillet 2009, des dispositions avaient été prises pour que des collégiennes âgées de 11 ans et plus, puissent se voir remettre la fameuse pilule en mains propres hors des heures de classe et sans que les parents soient prévenus. Un doute? Un simple SMS et l'infirmière accourt en toute discrétion! Officiellement, on compte toujours 200 000 avortements annuels. Et 25% des femmes de moins de 25 ans qui ont avorté en 2009, ont reconnu que cet avortement n'était pas le premier...Le Moloch hédoniste ne s'est jamais aussi bien porté.
"Toujours plus...d'avortements!"...Tel pourrait être le slogan qui pourrait couronner la faillite morale du progressisme partout à l'oeuvre en Europe. En ce domaine, l'exemple britannique est des plus parlants...On se souvient qu'en juillet 2009, des dispositions avaient été prises pour que des collégiennes âgées de 11 ans et plus, puissent se voir remettre la fameuse pilule en mains propres hors des heures de classe et sans que les parents soient prévenus. Un doute? Un simple SMS et l'infirmière accourt en toute discrétion! Officiellement, on compte toujours 200 000 avortements annuels. Et 25% des femmes de moins de 25 ans qui ont avorté en 2009, ont reconnu que cet avortement n'était pas le premier...Le Moloch hédoniste ne s'est jamais aussi bien porté.
mercredi 8 décembre 2010
dimanche 5 décembre 2010
Geert Wilders déborde le Likoud sur sa droite
En visite actuellement en Israël, Geert Wilders, a appelé Israël à construire davantage de colonies en Cisjordanie, au mépris des exigences internationales pour un gel de la construction. Wilders a déclaré que la construction doit se poursuivre afin qu'Israël puisse constituer des frontières défendables par l'annexion de la Cisjordanie.
Source: Jerusalem Post
Pédophilie et inceste dans le hassidisme new yorkais
Le spectre de la pédophilie dépasse tout clivage religieux, n’en déplaise à ceux qui, voudraient en finir avec le célibat des prêtres au motif qu’il favoriserait ce comportement criminel. Le quotidien israélien Haaretz rend compte d’un fait divers qui montre que des religieux qui ne sont pas astreints à un quelconque vœu de célibat, peuvent se rendre coupables de faits d’une monstruosité exceptionnelle.
Un rabbin hassidique et trois de ses fils sont soupçonnés d'avoir agressé sexuellement au moins quatre filles de la famille. Le père de 58 ans et l’un de ses fils, âgé de 21 ans, a fui en Israël et sont recherchés pour interrogatoire. Deux autres fils, de 24 ans et 15 ans, sont déjà sous les verrous. Selon la police, ces arrestations font suite aux révélations de l’aînée des victimes, âgée de 20 ans, qui a déclaré avoir été agressée à plusieurs reprises par son père depuis une quinzaine d’années. Les autres victimes sont âgées de 8 à 19 ans.
Selon la police, le père est soupçonné d'avoir abusé d'au moins deux de ses filles. Les frères ont été accusés de viol et d'autres crimes pour avoir abusé de leurs sœurs. Le plus jeune suspect a été accusé d'avoir agressé sexuellement sa sœur âgée de 8 ans.
La famille vivait dans le quartier de Brooklyn Midwood. Le père et la mère, qui sont cousins germains, ont eu 14 enfants. Tous, sauf deux, vivent dans la maison. Il ya sept filles et sept garçons dans la famille. Le père était un enseignant dans une école juive jusqu'à il ya trois mois, quand il a démissionné pour des raisons inconnues.
Selon les autorités de l’Etat, les cas d’abus sexuels sont parfois traités « en douceur » dans les tribunaux rabbiniques orthodoxes, plutôt que d'être signalés aux autorités.
Un million de $ a été affecté à un plan de prévention de la pédophilie à destination des juifs hassidiques. Procureurs, conseillers et chefs religieux de Brooklyn se sont regroupés l'an dernier pour constituer un programme de lutte contre les abus sexuels dans la communauté. Les victimes peuvent même appeler une hotline et parler avec un travailleur social « culturellement sensible ».
jeudi 11 novembre 2010
Ce qui demeure

Je ne me lasse pas de parcourir chaque année, dans les quelques jours qui précèdent le 11 novembre, de parcourir ce magnifique recueil de Benoist-Méchin au titre si bien choisi: "Ce qui demeure". Voici une lettre que j'ai lue à une classe de lycéens hier et qu'ils ont accueillie avec un très grand respect, preuve que la langue dans laquelle s'exprime le héros qui écrit n'est pas une langue morte. Les braises d'un possible renouveau de la conscience nationale couvent sous la cendre de la haine de soi. A nous, pères, enseignants, citoyens de souffler dessus pour que nos pauvres Poilus ne soient pas morts pour rien...
Lettre de Gustave VEUILLET, sous-lieutenant au 23e régiment d'infanterie, tombé au champ d'honneur le 26août 1916 à Curlu (Somme).
Chère Maman
Lorsque tu liras ces lignes, je me serai, comme tant d'autres, acquitté envers le pays de la dette sacrée; et ce n'est certes que payer un juste prix l'honneur d'avoir porté le nom de Français en ces heures sublimes, en renonçant à certains rêves d'avenir. Depuis longtemps j'avais fait le sacrifice de ma vie à la noble cause, la plus belle d'entre toutes, celle pour laquelle nous avons su souffrir, lutter et mourir.
Elle en vaut la peine. Que cette nouvelle te trouve forte et fière d'avoir donné un fils à la Patrie; c'est là mon dernier voeu. Le coeur des mères est, je sais, bien sen-sible à de pareils coups, mais je sais aussi que le coeur d'une Française les supporte vaillamment, et tu étais la maman d'un bon Français.
Comme j'ai sacrifié ma vie sur l'autel de la Patrie, offre ton héroïque douleur à notre chère France et nous aurons tous deux bien mérité du pays. Songe que la mort est notre lot fatal et qu'il faut la bénir lorsqu'elle concourt à un tel but. Sois assurée que je l'ai affrontée sans crainte, mon seul souci étant de faire dignement mon devoir. Et je meurs sans remords, ma tâche consciencieusement accomplie, avec la joie sereine de songer que mon souvenir survivra parmi celui des braves tombés au champ d'honneur pour que l'humanité fût faite de plus de justice. Je ne regrette rien de la vie, car j'ai vécu des heures uniques et sublimes, exemptes de tout calcul et d'égoïsme, et je ferme les yeux sur une vision presque trop belle pour être humaine.
J'ai vu tomber à mes côtés en un effroyable pêle-mêle, mais d'un geste héroïque, des heureux de la vie et des pauvres diables, de puissants cerveaux et de rudes primitifs, qui, après avoir souffert de longs mois, fait abstraction de tout, sacrifié fortune, plaisir, famille, ont donné leur vie pour un idéal d'amour, de justice et de liberté.
Si tu savais comme de tels exemples aident à mourir ! J'emporte dans la tombe le radieux espoir d'une France grande, forte et respectée, avec la pensée que j'aurai modestement contribué à l'oeuvre de rénovation; ma dernière pensée s'envole vers toi, chère petite maman, et auprès d'Henri que j'ai beaucoup aimé, dans la communion de pensée où nous réunissait l'amour profond de notre belle France.
Ne pleurez pas ma mort, ce serait faire injure à ma mémoire; placez mon portrait en tenue à la place d'honneur du salon et ne l'encadrez pas de crêpe, car je veux être uniquement un souvenir de gloire et non de deuil. Ceux qui sont tombés en soldat ont droit que l'on ne pleure pas leur trépas, puisqu'ils l'ont librement consenti et jugé utile."
Elle en vaut la peine. Que cette nouvelle te trouve forte et fière d'avoir donné un fils à la Patrie; c'est là mon dernier voeu. Le coeur des mères est, je sais, bien sen-sible à de pareils coups, mais je sais aussi que le coeur d'une Française les supporte vaillamment, et tu étais la maman d'un bon Français.
Comme j'ai sacrifié ma vie sur l'autel de la Patrie, offre ton héroïque douleur à notre chère France et nous aurons tous deux bien mérité du pays. Songe que la mort est notre lot fatal et qu'il faut la bénir lorsqu'elle concourt à un tel but. Sois assurée que je l'ai affrontée sans crainte, mon seul souci étant de faire dignement mon devoir. Et je meurs sans remords, ma tâche consciencieusement accomplie, avec la joie sereine de songer que mon souvenir survivra parmi celui des braves tombés au champ d'honneur pour que l'humanité fût faite de plus de justice. Je ne regrette rien de la vie, car j'ai vécu des heures uniques et sublimes, exemptes de tout calcul et d'égoïsme, et je ferme les yeux sur une vision presque trop belle pour être humaine.
J'ai vu tomber à mes côtés en un effroyable pêle-mêle, mais d'un geste héroïque, des heureux de la vie et des pauvres diables, de puissants cerveaux et de rudes primitifs, qui, après avoir souffert de longs mois, fait abstraction de tout, sacrifié fortune, plaisir, famille, ont donné leur vie pour un idéal d'amour, de justice et de liberté.
Si tu savais comme de tels exemples aident à mourir ! J'emporte dans la tombe le radieux espoir d'une France grande, forte et respectée, avec la pensée que j'aurai modestement contribué à l'oeuvre de rénovation; ma dernière pensée s'envole vers toi, chère petite maman, et auprès d'Henri que j'ai beaucoup aimé, dans la communion de pensée où nous réunissait l'amour profond de notre belle France.
Ne pleurez pas ma mort, ce serait faire injure à ma mémoire; placez mon portrait en tenue à la place d'honneur du salon et ne l'encadrez pas de crêpe, car je veux être uniquement un souvenir de gloire et non de deuil. Ceux qui sont tombés en soldat ont droit que l'on ne pleure pas leur trépas, puisqu'ils l'ont librement consenti et jugé utile."
Mémoire sélective
Sous l’Arc de Triomphe, Nicolas Sarkozy a dévoilé une plaque célébrant le courage de quelque 2.500 jeunes Français, étudiants et lycéens bien moins conformistes que ceux d'aujourd'hui,qui ont décidé le 11 novembre 1940, de braver l’armée allemande, par une manifestation patriotique au cours de laquelle un millier d’entre eux furent arrêtés.
Le président de la République a également rendu hommage aux quelque 100.000 combattants musulmans morts pour la France lors des deux guerres mondiales. "La France s’engage dans une mémoire non-sélective", se réjouit Dalil Boubakeur.
Le président de la République a également rendu hommage aux quelque 100.000 combattants musulmans morts pour la France lors des deux guerres mondiales. "La France s’engage dans une mémoire non-sélective", se réjouit Dalil Boubakeur.
Dites Monsieur le Recteur...Evoquer spécifiquement une catégorie de combattants morts pour la France ce n'est pas faire preuve de mémoire sélective peut-être? Allez, l'année prochaine, au tour des tirailleurs annamites pour faire plaisir à la communauté vietnamienne de France!
vendredi 1 octobre 2010
dimanche 26 septembre 2010
vendredi 23 avril 2010
La pédophilie islamiquement correcte
Suite au divorce d'une fillette saoudienne de 12 ans contrainte d'épouser un octogénaire, l'Arabie saoudite a décidé de fixer un âge minimum pour le mariage. L'an dernier, la jeune fille a été forcée par son père à épouser un cousin âgé de 80 ans en échange de 85.000 rials saoudiens (16.300 euros). Soutenue par sa mère, la jeune fille a demandé le divorce au vieillard et l’accuse de viol.
Confrontée à l’inertie des tribunaux , la jeune fille ne s’est pas découragée et a présenté une nouvelle demande de divorce en février dernier. Finalement, une accord entre les deux parties a mis fin au mariage. Ce cas ayant été largement médiatisé dans le pays, les autorités saoudiennes ont décidé de réglementer ces mariages. Trois comités formés par médecins, psychologues pour enfants, des travailleurs sociaux et des experts de la charia examineront la question pendant plusieurs mois. A la suite de leurs rapports, un âge minimum de nuptialité sera fixé pour les jeunes filles. Mais que peut-on espérer d’un pays où ce type de mariages est justifié par l’exemple même du prophète Mahomet lequel a épousé une petite fille de neuf ans?
Confrontée à l’inertie des tribunaux , la jeune fille ne s’est pas découragée et a présenté une nouvelle demande de divorce en février dernier. Finalement, une accord entre les deux parties a mis fin au mariage. Ce cas ayant été largement médiatisé dans le pays, les autorités saoudiennes ont décidé de réglementer ces mariages. Trois comités formés par médecins, psychologues pour enfants, des travailleurs sociaux et des experts de la charia examineront la question pendant plusieurs mois. A la suite de leurs rapports, un âge minimum de nuptialité sera fixé pour les jeunes filles. Mais que peut-on espérer d’un pays où ce type de mariages est justifié par l’exemple même du prophète Mahomet lequel a épousé une petite fille de neuf ans?
Source: El Mundo
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