Et si "4 mois, 3 semaines, 2 jours", le film de Cristian Mungiu récompensé par la Palme d'Or à Cannes et par le Prix de l'Education nationale (présidé cette année par Bernadette Lafont ...), se retournait contre les commissaires politiques de la culture de mort?
Questionné sur la "polemique" concernant son film dans une entrevue au Journal du Dimanche, le réalisateur roumain déclare qu'il le considère non seulement "pédagogique" mais qu'il le voit " comme une prévention à l'avortement".
Questionné sur la "polemique" concernant son film dans une entrevue au Journal du Dimanche, le réalisateur roumain déclare qu'il le considère non seulement "pédagogique" mais qu'il le voit " comme une prévention à l'avortement".
D'autres précisions interessantes apparaissent dans cette entrevue:
"Vous vous êtes inspiré d'une histoire vraie?Cela était arrivé à une personne que je connaissais et à qui cela a laissé pas mal de cicatrices" (...)Il faut savoir aussi que je suis né parce que l'avortement était interdit. Ma mère ne me l'a jamais caché. Nous sommes les enfants du décret (interdisant l'avortement)"
1500 DVD vont être diffusés à la rentrée afin d'être utilisés comme matériel pédagogique: les enseignants qui se feront les heraults de l'avortement comme un acte de révolte contre le totalitarisme de Ceaucescu risquent d'avoir des surprises.
1 commentaire:
le souci principal ce n'est pas le film qui peut être évidement interpreté de différentes façons
non ce qui est dangereux , ce sont les commentaires et l'accompagnement pédagogique de l'oeuvre . il y a fort à parier que peu des interventions des professeurs formatés par les iufm soient pro vie .
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